La cerise sur l'gâteau

Une dernière bière et tu es sorti du bar. Tes potes voulaient que tu restes et tentaient de te convaincre de rester avec eux pour te bourrer la face, mais tu n'en avais pas envie. Tu as donc pris la sortie en leur disant à plus tard, t'avais autre chose à faire. En réalité, tu avais envie de la voir elle, ta meilleure amie. T'as donc embarqué dans ta voiture et tu t'es engagé sur la route pour te rendre au garage. Le soir est frais, t'as garder ta veste de cuire et s'est les mains dans les poches que tu as traversé la ville pour aller la retrouver. Tu as bien vu qu'elle était là, juste au son de ses outils et de la lumière intérieur. T'ouvres la porte, entres dans la pièce de la mécanicienne. Tu vois de belles jambes lisses et la vue de ses fesses parfaite alors qu'elle est penchée sous le capot de sa voiture. Tu penches la tête légèrement sur le côté et te mord la lèvre inférieure en souriant l'air intéressé par ce spectacle magnifique qu'elle t'offre. Tu te rapproches un peu plus d'elle et de tes doigts, tu viens frôler son dos.. - Hmm, après tu te demandes pourquoi j'peux pas résister, j'dois certainement être le seul à apprécier la vue. Tu arques un sourcil en riant doucement pour la taquiner. Tes mains qui viennent se loger sur ses hanches alors que ton torse se colle dans son dos. Tu observes par-dessus son épaule - t'as trouvé le problème ? Lui demandes-tu en regardant le moteur de la voiture sur lequel Athéna travaille.

Une soirée comme une autre, ce soir tu avais dans l'idée de bosser une nouvelle fois pour ce dealer que tu détestes au plus haut point, tellement que tu en as développé l'ambition de vouloir le doubler et de récolter sa propre clientèle. Une ambition encore lointaine, pour le moment tu te comptante simplement d'en apprendre un peu plus sur le métier en s'occupant des courses pour cet homme qui te répugne, mais ce soir c'est ta voiture qui t'empêche d'accomplir tes plans. Pas de souci après tout la destination de ce soir ne te plaisait pas réellement, bien au contraire il t'arrive parfois de refuser quand l'endroit te fait un petit peu peur. Il est à peine vingt deux heures quand tu arrives au garage de ton père, tu aimes y venir la nuit pour chouchouter ta partenaire de rodéo, la vitesse tu as ça dans le sang le besoin de voir le compteur s'affoler sous ton pied te provoque un plaisir sans nom. Tu ne fais pas attention au bruit de pas s'approchant vers toi le corps à moitié plongée dans les entrailles de ton bébé, ses doigts effleurant le creux de tes reins, ta peau se mit à frémir sous son contact pas de doute à la manière qu'il a de te toucher tu ne mis pas longtemps a reconnaitre Loïc avant qu'il ne prenne la parole. " Le seul je ne sais pas ? mais quoi qu'il en soit il me semble qu'il n'y a que toi qui peux savoir où je me trouve à cette heure-ci..." ton corps se relevant doucement du moteur de ta voiture tu fis attention à ne pas te cogner sur le capot pour te retourner face au jeune homme, replaçant une mèche de cheveux derrière ton oreille tu déposas involontairement une trace de cambouis sur ton doux visage avant d'afficher sur celui-ci un sourire ravi de découvrir le beau blond dans ton garage. " Je pense, il me semble que cela vient du carbu, mais pour être honnête j'ai juste eu envie de la bichonner un petit peu ce soir..." Te rapprochant légèrement de lui tu en profitas pour lui murmurer à l'oreille. "Mais toi que fais-tu ici a cette heure-ci ?" avant de venir coller délicatement tes lèvres sur les siennes, tu ne vas pas te mentir sa présence à tes côtés aujourd'hui t'a réellement manqué.

Tes doigts qui effleurent le creux de ses reins, tu viens te coller à elle pour te sentir tout près. Tu souris et observes par-dessus son épaule. " Le seul je ne sais pas ? mais quoi qu'il en soit il me semble qu'il n'y a que toi qui peux savoir où je me trouve à cette heure-ci..." Tu ris doucement alors que tu la laisses se retourner vers toi. Tes yeux, qui ne la quittent pas comme si devant toi se tenait la plus belle des merveilles du monde. Tu hausses un sourcil - Hmm, bah tant mieux, je n'aurais pas m'battre pour t'avoir dans ce cas. Tu hausses les épaules avec cet air taquin. Ses doigts qui laissent une trace d'huile sur son beau visage, tu te pinces les lèvres te disant que même avec cette saleté elle est magnifique bordel. Tes yeux détaillent son visage, chacun de ses traits tout en s'attardant sur ses lèvres. " Je pense, il me semble que cela vient du carbu, mais pour être honnête j'ai juste eu envie de la bichonner un petit peu ce soir..." Tu ris doucement en hochant la tête, signe que tu comprends. Puis, tes mains se pressent doucement contre ses hanches lorsqu'elle se rapproche de toi. "Mais toi que fais-tu ici a cette heure-ci ?" Son parfum qui vient chatouiller tes narines, tes sens qui se réveillent doucement en sentant la jeune femme se coller à toi. Son souffle à ton oreille te fait frissonner. - J'avais cette envie incontrôlée de te voir... Prononces-tu tout bas de ta voix grave. Les lèvres d'Athéna se posent sur les tiennes et tu viens prolonger le baiser. Ta langue venant trouver la sienne alors que ta main s'aventure sur sa nuque et que ta main posée sur sa hanche la colle à toi. - Tu m'as manqué... Souffles-tu entre deux baisers. L'affaire avec Athéna, c'est que tu as de la difficulté à t'arrêter lorsqu'elle décide de jouer avec toi. Tu ne sais plus t'arrêter, mais tu fais de ton mieux pour pas la brusquer à chaque fois. T'as pas peur de lui faire comprendre que tu aimes sa présence, mais les mots qui déterminerais à qu'elle point tu es attaché à elle. Tu gardes ça pour toi, - Tu veux que j'taide à la chouchouter...? Tu ris contre sa bouche. Tu n'es pas croyable toi...

La douceur de son regard en ce moment même a le don de te faire oublier le temps qui passe, chaque seconde en sa présence te fait littéralement oublier la raison pour laquelle tu te trouves dans ton garage. Le sourire se dessinant sur ton visage a l'idée qu'il puisse se battre pour toi te ravie, bien que tu ne le souhaite pas, il a toujours eu le don de te faire rapidement comprendre qu'il tient à toi autant que tu puisses tenir à lui. "Je ne le souhaite pas, je ne voudrais pas qu'on abîme ce doux visage, j'en ai encore bien trop besoin... ce n'est pas un mensonge de te dire que tu es ma bouffée d'oxygène dans ce monde de brut." Son air taquin, son pincement de lèvre inférieure te fait subtilement fondre intérieurement, mais têtue tu ne souhaites pas réellement lui avouer la profondeur de tes sentiments à son égard, bien au contraire tu aimes ce petit jeu qui s'est rapidement installé entre vous deux. Votre jeu, vos propres règles rien de plus n'y moins, seulement vous deux. " Incontrôlée dis-tu ? Je suis bien contente que cette folle envie t'es poussée jusqu'à moi..." Par habitude tu aimes mener la danse, mais ce soir tu ne refuses pas la poursuite de se baiser, bien au contraire, au contact de sa langue sur la tienne tes émotions te rendent plus douce, plus docile, une touche de bonheur qui te fais le plus grand bien. Alors qu'il prononce quelques mots entre deux baisers tu ne peux retenir ce frisson qui te parcours le corps a l'idée que tu puisses lui avoir manqué, cette lueur dans ton regard et le ton de ta voix qui s'adoucit te rend plus fragile qu'a ton habitude. " Réellement... ?" Tu as beau avoir un sale caractère, tu n'en restes pas moins une jeune femme qui a été privée bien trop longtemps d'une véritable vie de princesse. "Hum je ne sais pas..." Son rire, sa joie de vivre à ce moment te fait sourire une nouvelle fois avant que tu ne reprennes la parole "...pourquoi pas, mais là de suite je ne dirais pas non pour me retrouver au creux de tes bras, ma voiture peut attendre encore un petit peu..." Proche de son visage tu en profite pour glisser doucement ta tête le long de son épaule te rapprochant un peu plus de lui par la même occasion, alors que tu en profites pour lui glisser deux trois, bisous le long de son coup tu en profite de nouveau pour lui murmurer à l'oreille. "Tu restes avec moi ce soir ? "