bonjour la compagnie ! ♡
je viens par hasard de tomber sur ce doux rpg grâce à un pub facebook et j'aimerais donc m'y inscrire. la biographie de mon personnage étant déjà rédigée, il ne me reste plus qu'à trouver des liens ! je vous laisse donc avec cette dernière (j'vous jure qu'elle n'est pas à rallonge), en espérant trouver mon petit bonheur. :3
Prénom & Nom : Anna Maxwell.
Âge et lieu de naissance : 29 ans, Perth, Australie.
Orientation sexuelle : pansexuelle.
Métier : détective privé.
Liens : aucun pour le moment.
Traits de caractère : passionnée, hypersensible, solaire, bohème, à fleur de peau, distraite, libérée, curieuse, têtue, déterminée.
Avatar : Lindsey Morgan.
Doucereuse Anna. Elle ouvre ses prunelles sur les terres australiennes — bercée par la houle, éblouie par les rayons de l'astre solaire. Enfant unique, cuillère en or massif dans la bouche, elle est choyée, cajolée, entourée et adorée. Elle grandit parmi les sourires, parmi les rires. Sa famille, c'est une mère généreuse, un père dévoué malgré ses absences professionnelles répétées. Sa famille, c'est aussi un mélange culturel — l'Australie et la Bulgarie. L'Australie à temps plein. L'Australie et sa douceur de vivre. l'Australie et ses océans. L'Australie et sa rudesse parfois. Puis, la Bulgarie. La Bulgarie et ses traditions d'antan. la Bulgarie et ses montagnes infinies. La Bulgarie, bien différente de l'Australie et pourtant, si complémentaire à son cœur.
Les années passent, elle s'épanouit et vient le jour du grand départ. Son paternel est muté et elle se retrouve à fouler la terre de l'american dream. La langue n'est pas un obstacle mais elle n'en demeure pas moins dépaysée, attristée, nostalgique. Hashford Hill c'est différent ; un monde auquel elle n'est pas habituée, bien plus paisible et qu'elle découvre chaque jour qui passe jusqu'à finalement accepter sa fatalité. Son diplôme de fin d'études obtenu haut la main, elle rentre à l'école supérieure des agents de recherches privées et, une nouvelle fois, décroche son titre certifié de détective privé avec brio. Anna avait choisi ce métier — considéré, encore aujourd'hui avec beaucoup de sexisme — grâce à son oncle. Un géant à la bonhomie communicative qu'elle adulait enfant. Les heures de planque, les filatures interminables et toutes les photos punaisées sur l'immense panneau de liège qui recouvrait tout un pan de son bureau. Dans ces moments-là, le jovial oncle Ben se transformait en un être fermé, les yeux toujours en mouvement, à respirer fort par le nez, sa poitrine se soulevant et gonflant sa chemise avec la régularité d'un dormeur. Pourtant, sous son crâne de plus en plus chauve au des décennies, une activité frénétique lui brûlait les synapses. Loin d'être assoupi, oncle Ben examinait, recoupait, fomentait. Puis, brusquement, il bondissait pour taper son rapport sur la machine à écrire bruyante d'un autre siècle ou pour enfiler son imperméable beige usé et foncer dans la rue.
Il avait fasciné et façonné Anna.
Encore aujourd'hui, elle éprouvait toutes les difficultés du monde à s'expliquer les raisons de cet intérêt. Elle était juste une gamine qui adorait le frère de son père, cet éternel célibataire qui fumait trop, qui venait dîner à la maison plusieurs fois par semaine, prompt à raconter de bonnes blagues, à rire fort, à boire allègrement, et qui, lorsqu'elle lui demandait ce qu'il faisait pour gagner sa vie, répondait d'un air mystérieux en baissant le ton ; « Je fouille dans les secrets des gens. De préférence les secrets les plus honteux, ceux qu'ils voudraient ne jamais partager. » C'était peut-être ça le point d'origine. Connaître les secrets. Anna, gamine d'une dizaine d'années, chevelure châtain, petit nez mutin, grands yeux bruns et sourire sincère, avait rêvé de s'immiscer dans l'intimité d'inconnus, et tout étaler dans une pièce rien qu'à elle pour les comprendre, les percer à jour.
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Je n'ai pas encore d'idée précise, mais on peut trouver ensemble ? 
